Le gros problème de cette université c'est l'engagement militant d'une grande majorité d'étudiants (et soutenu par quelques enseignants) rendant anxiogène la vie sur le campus.
Avec le Covid, ça c'était plutôt calmé jusqu'à ce mois de janvier où c'est une catastrophe cette université : entre les blocages à répétions, la dégradation des biens ou que des cours soient annulés parce qu'une majorité de la promotion "souhaite faire grève", c'est pas possible d'étudier dans ces conditions et que les enseignants s'adaptent à eux.
C'est inadmissible que la présidence de l'Université ne soit pas plus stricte envers ces comportements qui nuisent aux étudiants et enseignants non grévistes. Les campus du Capitole et de Paul Sabatier me paraissent plus sérieux.